Toxicité féminine

Publié: mars 9, 2023 dans Uncategorized

Est-ce que la toxicité féminine existe vraiment ?
Est-ce que la toxicité féminine existe vraiment ?

Les Oscars de cette année sont connus pour une scène en particulier.

Après que le présentateur Chris Rock s’est permis une blague sur l’actrice Jada Pinkett Smith, son mari Will Smith a sauté sur scène et a frappé le comédien au visage.

Il y a trente ans, le monde entier aurait ri de cette gifle – d’autant plus que l’animateur qui s’est fait agresser a tout de suite craqué la blague suivante.

Mais en 2022, on ne rit plus de ça !

Le récit de l’homme protecteur fort qui utilise la force physique pour s’opposer à tout ce qui se rapproche trop de lui et de sa famille est dangereux.

C’est ce que l’on appelle la masculinité toxique.

Cela suggérerait qu’il y a de la bonne et de la mauvaise violence.

La campagne MeToo en 2017 a popularisé ce mot à la mode.

Depuis lors, tout ce qui est viril est suspecté.

Alors pourquoi la masculinité en soi est-elle décrite comme toxique, et donc malveillante, à cause de tels phénomènes de violence ?

Cette stigmatisation culturelle calculée selon le sexe est-elle censée dissimuler quelque chose ?

Contenu montrer
Pourquoi parle-t-on de masculinité toxique avec tant d’empressement, mais rarement de féminité toxique ?
Après tout, les hommes sont aussi victimes de violences conjugales.

Il n’y a pratiquement aucun signalement et par conséquent presque aucune sensibilisation du public au problème.

Les femmes vivent leur agressivité, par exemple en taquinant, en se précipitant, en humiliant ou en répandant des rumeurs.

D’ailleurs, le fait que les femmes soient plus pacifiques que les hommes est un mythe qui persiste.

Mais c’est précisément cette légende qui est constamment reproduite dans les médias, dans laquelle la violence contre les femmes est mentionnée de manière inflationniste et la violence contre les hommes est réprimée.

On a notamment pu voir cela dernièrement avec le procès entre Johnny Depp et Amber Heard.

Nous avons affaire ici au consensus d’une société profondément féminisée.

Cette évolution dure depuis quarante ans.

La folie du féminisme toxique
Dès 1980, le communiste et philosophe français Roger Garaudy appelait les femmes à prendre le pouvoir dans un livre « Pour l’avènement de la femme ».

Depuis lors, des avertissements ont été lancés à maintes reprises sur l’hégémonie croissante de la femme dans de nombreux domaines de la vie.

D’ailleurs, le thérapeute familial danois Jesper Juul s’est plaint que les jardins d’enfants et les écoles en particulier sont largement entre les mains des femmes.

La réputation de l’homme s’est dégradée.

Le sexe masculin est souvent considéré comme violent, sexuellement obsédé, intellectuellement en retard, émotionnellement arriéré et notoirement paresseux.

« L’avenir est au féminin », promettait Margerethe Mitscherlich dans un manifeste en 1987 et livrait le slogan pour la création d’un monde meilleur, plus humain, plus pacifique.

L’apogée la plus récente de cette idéologie sont des plans verts pour une politique étrangère féministe, voire une politique féministe des transports et une planification des transports sensible au genre.

La femme toxique joue le rôle de la victime
Bien sûr, ce n’est pas ouvertement admis.

En général, on nie catégoriquement que notre société est féminisée et que la masculinité a longtemps été sur la défensive dans le monde occidental.

Dans une certaine mesure, ce déni fait partie du business model des femmes qui veulent se créer de plus en plus d’opportunités d’influence à l’aide d’une musicalité victimaire.

C’est précisément cet art de la manipulation qui fait partie de la féminité toxique.

Une femme toxique est un lanceur de fumée, un travailleur de l’obscurcissement.

Ainsi, ce que nous appelons la culture de l’éveil est une expression de la féminité toxique.

Cela devient clair dans les conflits grâce à une défense vers l’avant, que nous pouvons également appeler un saut périlleux sacrificiel.

Une femme qui se sent coincée stresse l’autre en lui disant : « tu ne m’aimes plus » !

Ce faisant, elle s’assure que l’autre personne s’emmêle dans les réassurances et les justifications et que l’accusation perd de sa force.

Supprimer la critique en faisant des accusations de féminisme
Ce genre de manœuvre de diversion s’observe tout le temps sur la scène politique.

Un ministre qui commet des erreurs ne peut pas être objectivement critiqué, car tout questionnement est rejeté comme misogyne.

Les concitoyens étrangers restent inattaquables parce que le critique doit compter avec les accusations de racisme.

De telles distorsions stratégiques ne peuvent être appliquées à grande échelle que dans des sociétés féminisées.

Depuis de nombreuses générations, la victimisation des femmes s’est raffinée comme une arme de maîtrise suprême.

Cela inclut le fait que cette phrase doit également être considérée comme misogyne.

Les femmes en particulier en savent beaucoup sur ce sujet.

Quand il s’agit de féminité toxique, beaucoup pensent immédiatement à leur propre mère.

L’agression pour dissimuler l’insécurité et la peur
Une de mes amies a souffert dans sa petite enfance parce que sa mère était déprimée, anxieuse, sur-adaptée et frustrée.

Elle était soumise aux contacts extérieurs, mais régnait sur sa famille avec des cris impérieux.

« Elle a toujours essayé de faire en sorte que nous soyons petits », a dit mon amie.

« Jamais moi ou mes frères et sœurs n’avons été encouragés ou félicités. »

La mère a transmis ses peurs de la vie comme un virus.

Cet exemple devrait être l’un des modèles standard de la mère toxique ordinaire de la classe moyenne.

Les femmes confiantes et puissantes ont le sens de l’humour
« Martyre agressif », c’est ainsi qu’une autre de mes amies décrit le phénomène de la féminité toxique.

Il faut compter avec ce coup de fouet des forces de résistance chez les femmes.

Sauve qui peut !

Cependant, nous ne voulons pas laisser ce sujet se terminer sans une référence aux contre-modèles à une telle méchanceté féminine.

Les femmes aussi ont leurs bonnes choses !

Et effectivement, je continue à rencontrer des femmes qui ne sont pas du tout toxiques.

J’ai souvent réfléchi à ce qui sépare ces femmes de la féminité toxique.

Ma conclusion préliminaire est la suivante : c’est l’auto-efficacité.

Quiconque est intérieurement convaincu qu’il peut maîtriser par lui-même des situations difficiles et qu’il peut laisser des traces de bien dans ce monde n’est pas voué à être toxique.

D’ailleurs, ces femmes sont souvent très faciles à reconnaître : elles ont le sens de l’humour.

Être trop proche de sa mère peut être mauvais pour l’enfant

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Lockdown files

Publié: mars 9, 2023 dans Uncategorized

🔴🔵🇬🇧 «Lockdown Files» : ces conversations embarrassantes du gouvernement britannique autour de la pandémie.

➡️ N. Dupont-Aignan :
 »Le journal le Telegraph ainsi que le wall street journal, sur l’affaire FAUCI, vient de révéler le scandale absolu qui dépasse le pire de notre imagination !

Des messages, entre les ministres et le premier ministre britannique, pendant la gestion du covid, sont effrayants de cynisme…

La gestion de la crise covid a été une immense manipulation !

On nous traitait de  »Complotistes »…

L’analyse des milliers de messages révèle.. il savait que le confinement était inutile… quand Boris Johnson a voulu l’arrêter les ministres ont dit  »non, il ne faut pas le faire parce que les gens ont peur, il faut continuer »…

Sur le masque pour les enfants, ils savent que ça ne sert à rien et a des conséquences psychologiques terribles dans les écoles…

 »On va leur faire peur avec ce variant… »

Donc on voit qu’un ministre de la Santé britannique, agit exactement comme Mr Véran, Mr Macron en instrumentalisant le virus du covid pour faire semblant de protéger et jouer sur la peur des opinions…

Je persiste à demander une commission d’enquête sur le vaccin et sur les effets secondaires… »

➡️ Les « Lockdown files » : c’est ainsi que le « Daily Telegraph », le quotidien britannique à l’origine de ces fuites, les a nommées.

Il s’agit de milliers de messages WhatsApp échangés notamment entre Boris Johnson, ex-Premier ministre conservateur, et les membres de son gouvernement, à commencer par Matt Hancock, ministre de la Santé jusqu’en juin 2021.
(https://www.jim.fr/e-docs/_lockdown_files_ces_conversations_embarrassantes_du_gouvernement_britannique_autour_de_la_pandemie__196457/document_actu_pro.phtml)

➡️ Article Telegraph :
https://www.telegraph.co.uk/news/lockdown-files/

🤗 Quand on vous dit que la vérité prend l’escalier… 🪜 enfin une échelle !

Location

Publié: mars 1, 2023 dans Uncategorized

Le Particulier nous révèle que les statistiques du portail d’annonces immobilières Bien’ici sont sans appel : l’offre locative a chuté de 10 % en 2022 alors que la demande a progressé de près de 70 %. Nul doute que le gouvernement nous assurera que cette tension n’a rien à voir avec l’ensemble des contraintes, pénalités, taxes et autres tourments qu’il ne cesse d’infliger à bras raccourcis aux loueurs, considérés tels des Thénardier, comme d’infâmes rentiers avides de ruiner leurs locataires par leurs prétentions exorbitantes. N’oublions pourtant pas qu’au-delà de ces prémices, il reste encore à venir entre autres :

la montée en puissance des interdits locatifs pesant sur quelque 5 millions (selon l’Observatoire national de la rénovation énergétique) à 8 millions de « passoires thermiques » (selon la Fédération Nationale de l’Immobilier) ;
l’ascension effrénée des taxes foncières, dont la valeur locative croît en un an de plus de 7 %, alors que le plafonnement des loyers ne tolère, lui, qu’une progression inférieure de moitié.

Ce qui ne va certainement pas arranger les choses, même si toutes les préfectures déploient des efforts méritoires pour consteller le territoire de logements sociaux dont, pour trop de communes, l’édification relève davantage de la menace d’une sanction financière que d’une volonté d’accueil délibérée.

Et si, considérant peut-être que la crise locative actuelle ne suffit pas, nos ministres pétris d’idéologie, de suffisance et d’incohérence, poussaient encore les feux comme s’ils n’avaient de cesse qu’une demande locative débridée ne vienne se fracasser brutalement sur une offre qui rétrécit au fur et à mesure que le pouvoir frappe les propriétaires (des « rentiers », selon la sémantique dominante) à coups redoublés ?

De fait, nous sommes en train de constituer les éléments d’une crise du logement pour les années à venir, qui touchera les ménages les plus pauvres mais aussi les classes moyennes, alerte encore la présidente de l’Union sociale pour l’habitat qui appréhende de voir, dans une conjoncture tendue, son parc fondre au rythme du retrait du marché des fameuses passoires thermiques, alors que les livraisons d’immeubles neufs stagnent à des niveaux inquiétants, très loin des objectifs annuels fixés. Et on enrage qu’aucun de ceux qui nous gouvernent, qu’aucun de ceux qui font les lois, n’ait la culture, ni le réflexe nécessaires pour comprendre que, forcés à l’extrême, les droits de protection finissent toujours par se retourner contre ceux qu’ils sont censés défendre.

C’est ainsi que, comme bien d’autres avant eux, nos phénix biberonnés à l’économie politique à la française, n’ont toujours pas réalisé que s’il se trouve des propriétaires sans locataires, on n’a encore jamais vu un locataire sans propriétaire. C’est cette logique de bon sens, à ras de terre et accessible à un collégien tant soit peu fûté, qui fait cruellement défaut à ceux qui, malgré les très longues études que certains ont cru devoir s’imposer, n’ont toujours rien compris à la loi élémentaire de l’offre et de la demande.

Thierry Benne

Deces dus au confinement.

Publié: décembre 27, 2022 dans Uncategorized

https://m.epochtimes.fr/etats-unis-les-deces-dus-au-confinement-en-2020-representaient-42-des-deces-excedentaires-2190615.html

Deux conversations

Publié: décembre 8, 2022 dans Uncategorized

Climat, liberté d’expression : deux conversations déprimantes ou les apories du progressisme citoyen
Nathalie MP Meyer


Drôle de semaine, que je viens de passer. Non seulement tous les microbes de saison semblent s’être donné rendez-vous dans mon nez et ma gorge ce week-end, ce qui n’est jamais de nature à me faire voir la vie en rose, mais ils sont arrivés après deux conversations totalement déprimantes que j’avais eues successivement mercredi et jeudi sur les thèmes désormais incontournables de la chasse aux émissions de CO2 et du nécessaire encadrement de la liberté d’expression dans les démocraties.

Dans les deux cas, un dîner de plusieurs convives que je qualifierais d’éduqués, d’expérimentés et en excellente capacité de s’informer. Mais comme vous allez voir, la question est moins celle de l’information que celle de la dérive du raisonnement initial, lancé au nom de la préservation de l’esprit démocratique, dans des conclusions in fine autoritaires et, j’ose le dire, inhumaines. Ce que j’appelle en titre les apories, autrement dit les impasses délétères, du progressisme citoyen.

Mercredi : sauver l’humanité… et dénier aux pauvres leur droit à vivre mieux !
La conversation se porte je ne sais trop comment sur la proposition de Jean-Marc Jancovici de limiter les voyages aériens à trois ou quatre par personne sur la durée de toute une vie. Autour de la table, l’idée semble excellente, d’autant que beaucoup de gens ne voyageant pas, ils pourront céder leurs droits aux happy few qui se rendent en automne à Marrakech et au printemps à New York (ou le contraire ou ailleurs, peu importe).

Mais bref, l’ennemi public numéro un, la pollution suprême, c’est évidemment le CO2. Dire le contraire c’est être négationniste et seulement suggérer que les cycles du Soleil pourraient avoir un rôle à jouer dans l’évolution du climat, c’est carrément de l’infox. Je résume mais je ne trahis pas l’esprit de la conversation, mon mari est témoin. Et Dieu sait que sa bienveillance innée pour ses semblables, son côté « je regarde les autres avec l’œil de Sempé », le poussent souvent à se faire conciliant au nom de la bonne foi et des bonnes intentions supposées des locuteurs.

Mais continuons. On passe à quelques poncifs sur l’épuisement des ressources, sur le fait que les réserves de ceci ou de cela sont forcément physiquement limitées, sans penser une seule seconde au fait (que je me décide à évoquer, au risque de jeter un froid entre la poire et le fromage) que la combinaison des atomes est, elle, pratiquement infinie pour peu qu’on laisse l’inventivité humaine s’exprimer. Un peu de renfort quand même de la part d’un entrepreneur qui souligne à travers un exemple qu’il a vécu combien les évolutions technologiques permettent de produire plus et mieux avec moins.

Ah, peut-être, enclenche immédiatement le chasseur de CO2, « mais de toute façon, le grave problème, c’est la croissance démographique ». J’objecte que le développement économique s’accompagne invariablement de la baisse de la natalité et j’ai à peine le temps d’ajouter « ainsi que d’une meilleure prise en compte des problématiques écologiques » qu’il me coupe pour s’exclamer : « Mais justement, c’est ça le problème ! Dès qu’ils accèdent au développement ils se mettent à polluer avec leurs voitures, leurs usines, leur électroménager, etc. » Je le répète, tout est vrai, mon mari est témoin.

« Ils », ce sont évidemment les pauvres, ceux de chez nous et ceux des pays en développement. Moi : « Vous préconisez de maintenir les pauvres dans leur pauvreté pour sauver la planète ? » Silence gêné. Quelqu’un fait remarquer que la politique n’est pas un sujet compatible avec le magnifique dessert qui arrive justement sur la table. Tout le monde opine, tout le monde mange, tout le monde s’extasie sur l’excellence des mets.

Jeudi : sauver la démocratie… et limiter le droit de vote !
Le lendemain, encore un dîner. Mais cette fois, je suis la puissance invitante et nous sommes entre très vieux copains. Occupée à touiller dans mes casseroles, j’entends à la volée un ami déclarer qu’il a quitté Twitter. Je l’interroge pour savoir si sa décision est en rapport avec le Twitter très (trop) bon chic bon genre d’avant Elon Musk ou au contraire si elle résulte de l’arrivée d’Elon Musk et de son ambition de renforcer la liberté d’expression sur ce réseau social.

Comme vous vous en doutez, c’est la seconde raison qui l’a motivé. Réintégrer Donald Trump qui a sali la démocratie et qui plus est le faire via un sondage parfaitement bidon sur Twitter, ce n’est pas défendre la liberté d’expression, c’est donner à fond dans le populisme de bas étage, c’est donner la parole à des séditieux incultes, c’est mettre en péril la démocratie.

D’ailleurs, ajoute quelqu’un, quand on voit sur quels critères complètement débiles les gens votent, genre un tel est beau, un tel est fort, c’est à se demander s’il ne faudrait pas limiter le droit de vote à ceux qui ont un minimum de conscience politique et de conscience des enjeux.

Moi : « Tu t’entendrais certainement très bien avec Aymeric Caron. Il pense qu’avant de voter, il faudrait passer un petit test destiné à vérifier à chaque scrutin que nous possédons bien les connaissances nécessaires ». Réponse : « Eh bien, tu vois, l’idée n’est pas si folle. » Moi : « Si je comprends bien, ton truc, c’est un peu comme le suffrage censitaire, c’est la réduction du corps électoral aux élites auto-proclamées et auto-adoubées. » À nouveau silence, fromage, dessert et sujets de conversation sans danger. Vous partez pour Noël ?

Encore une fois, j’insiste, tout est vrai, je n’invente rien, mon mari en est le témoin aussi atterré que scrupuleux.

Ce qui me frappe dans ces échanges, c’est de constater à quelle vitesse et avec quelle facilité il est possible de basculer d’une position très engagée et pleine de bonnes intentions humanistes et citoyennes sur les grandes valeurs d’ouverture de l’Occident à une position effroyablement autoritaire voire inhumaine envers tout ce qui contrarie certaines idées dominantes. C’est de voir à quel point tout ceci semble parfaitement naturel, parfaitement justifié et parfaitement souhaitable.

Prenez Aymeric Caron. Il n’est jamais le dernier à dénoncer et débusquer le fascisme partout où il se trouve au nom de la liberté et de la démocratie. On le suivrait volontiers s’il n’était évident qu’il est une liberté qui lui répugne particulièrement, celle des idées et des opinions. Ce n’est pas tant le niveau culturel et éducatif des votants qui le préoccupe – niveau dont on pensait d’ailleurs qu’il relevait au départ de notre fabuleuse Éducation nationale et de ses brillants diplômes largement répandus dans la société. C’est plutôt le désir impérieux de voir tout le monde se rallier à ses idées qui motive ses curieuses envies de sélection.

Comme l’écrivait Blaise Pascal dans ses Pensées, il se trouve hélas trop souvent, pour notre malheur, que qui veut faire l’ange, c’est-à-dire qui oublie sa condition d’homme limité et imparfait et se prend tout simplement pour un Dieu, fait en réalité la bête.

Mais l’astuce, la parade irréfragable, c’est d’avancer au nom de ses bonnes intentions humanistes, ce que Pascal lui-même, dans sa VIIème Provinciale, avait dénoncé dans le concept jésuite de « direction d’intention ». Tout repose sur la « pureté de l’intention », une intention adéquatement travaillée et modelée pour faire ressortir l’intrinsèque bonté de qui l’abrite en son cœur et une intention qui seule doit entrer en ligne de compte au moment d’évaluer l’action, y compris dans tout ce qu’elle pourrait avoir de mauvais, de raté ou de dommageable à autrui.

Comme je le disais au début de cet article, déprimant.

Macron the statist

Publié: décembre 5, 2022 dans Uncategorized

I sometimes read that the French president is a hardcore liberal, a fervent admirer of the United States.
That he has an admiration for the Americans is possible and his business. That he is a liberal, on the other hand, nothing could be further from the truth. He is even the opposite: he is an unconditional statist.

It is easy to see this. It is enough to observe two very revealing indicators: public spending and the country’s debt. Two aggregates that have clearly increased under his mandate. If Mr. Macron had been a liberal, as some people claim, the rate of public spending would have fallen below 50%.
Let’s remember that in France more than half of the value created by a worker is captured by the State and affiliated social organizations. And the current president has done absolutely nothing to reverse the trend. On the contrary, the rate of public spending has increased over the last few years to reach 59% (1,477 billion €).

The same is true for the public debt which, at the end of the first quarter of 2022, stood at €2,902 billion or 114.5% of gross domestic product. An absolute record.

Remember that liberalism is a doctrine hostile to state intervention in economic life; it is primarily concerned with defending the individual freedoms of citizens and their empowerment (Hachette dictionary). We are at the antipodes of the current policy: the totalitarian measures that the French president and his government have inflicted on the French people for several years, have only enslaved them by infantilizing them.

Some will retort that the French president is always quick to favor the big bosses (McKinsey, Alstom, Axa, Medef…) (and who will probably pay him back one day). It will then be easy to answer them that the socialists have always cronyized with the big groups and quite rarely to defend the interest of the citizens, quite the contrary. And this is in no way a proof of liberal management.
It is only the expression of a corrupt power that practices crony capitalism, an inglorious metastasis of omnipotent states.

Mankind is stupid

Publié: novembre 28, 2022 dans Uncategorized

For more than two centuries now, since the fears wrongly expressed by Thomas Malthus around 1800, we have been predicting the worst extremities due to the depletion of resources if nothing is done to counteract this terrifying evolution. And it has been well over fifty years since we have added to this the anxieties about global warming and their cohort of recommendations on the necessary economic decrease and the necessary decrease of the world population, without regard for the aptitudes of the human mind to face this problem as it has already done on many occasions in other circumstances in the past. None of the prediction ever happened. We are the stupidest species on Earth.

Mascarade ecolo

Publié: novembre 26, 2022 dans Uncategorized


Cet automne, dans toute l’Europe, les soi-disant activistes climatiques ont mené des actions qui non seulement ont enfreint la loi mais ont également consisté en des actes de vandalisme et de violence physique.

À la National Gallery de Londres, deux femmes ont jeté de la soupe sur un tableau de Vincent Van Gogh ; dans un musée allemand, d’autres activistes ont badigeonné un tableau de Claude Monet avec de la purée de pommes de terre ; et bien sûr l’activiste belge Wouter Mouton a sévi l’été dernier à la fois à Bruges, sur une œuvre de Van Eyck, ainsi qu’à à La Haye, où la cible était le chef-d’œuvre de Vermeer La jeune fille à la perle. En Belgique, il s’en est tiré avec une facture de 1000 euros mais aux Pays-Bas il a été condamné à un mois de prison ferme. En réponse à cette dernière, Extinction Rebellion, l’un des groupes d’action pour le climat, a menacé de lancer une « vague d’actions ».

Les militants affirment ne pas recourir à la violence. Mais salir une œuvre d’art, quand bien même elle elle est protégée par une vitre, relève désormais du vandalisme, indépendamment des nuisances occasionnées. Ainsi, dans une déclaration commune, des dizaines de directeurs de grands musées du monde entier, dont le Louvre à Paris, le Prado à Madrid, le Guggenheim à New York et les Uffizi à Florence, ont appelé les vandales du climat à cesser leurs agissements. Ils se disent « profondément choqués par ces actions qui mettent en danger l’art » et ajoutent que « les activistes sous-estiment la fragilité de ces objets irremplaçables ».

Franchir la ligne de la violence
Entretemps, la ligne de la violence a déjà été franchie.

Au Portugal, des fanatiques du climat ont pris d’assaut un bâtiment gouvernemental et exigé en hurlant la démission du ministre de l’Économie qui a dû fuir le bâtiment. Dans les médias allemands, l’extrémiste climatique d’extrême gauche Tadzio Müller a ouvertement déclaré qu’il était de « notre satané devoir » de faire sauter les pipelines, prônant le terrorisme vert, affirmant que le meurtre était « politiquement contre-productif ».

Son homologue suédois Andreas Malm, professeur émérite à l’université de Lund, en « écologie humaine », a même rédigé un manuel intitulé « Comment faire sauter un pipeline », qui prescrit :

« Endommagez et détruisez les nouveaux appareils qui émettent du CO₂. Mettez-les hors service, démontez-les, démolissez-les, brûlez-les, faites-les sauter. Faites savoir aux capitalistes qui continuent à investir dans le feu que leurs biens seront détruits. »

Malm n’est pas seule. Luisa Neubauer, l’équivalent allemand de Greta Thunberg, a récemment posté sur Instagram comment elle et ses alliés prévoyaient de « faire sauter des pipelines » , ce qu’elle a ensuite essayé de minimiser en évoquant une blague.

À la suite de l’action d’un manifestant de Just Stop Oil, un autre de ces groupes notoires, un camion a provoqué un accident sur une autoroute britannique, blessant un policier peu de temps après qu’un accident sur place dû à un embouteillage provoqué par des « blocages climatiques » a déjà coûté la vie à deux femmes dont un médecin de 40 ans. Toujours à Berlin, une ambulance en route pour s’occuper d’un cycliste gravement blessé s’est retrouvée coincée dans les embouteillages provoqués par l’obstruction de la voie publique.

Malgré tout cela, l’action climatique continue de bénéficier du soutien de certains médias. En Allemagne, la chaîne de télévision WDR, financée par le gouvernement, a même énuméré les avantages et les inconvénients du vandalisme artistique, la liste des avantages étant deux fois plus longue.

Greenpeace soutient ouvertement les actions, paie les frais de justice après coup et fournit également locaux, matériel et savoir-faire. Le financement direct provient du « Climate Energy Fund » (CEF) américain, qui a déjà dépensé 5 millions de dollars cette année.

Soutien politique au militantisme climatique
Les actions bénéficient également d’un soutien au niveau politique.

La coprésidente des Verts flamands, Nadia Naji, a vivement fustigé la critique timide des actions récentes formulée par le Premier ministre belge lors de son discours à la COP27 en Égypte.

L’alarmisme climatique a profondément pénétré les plus hauts niveaux politiques en Europe.

Par exemple, le chef de cabinet du commissaire européen chargé de la politique climatique, Frans Timmermans, est issu de l’écurie de Greenpeace. Diederik Samsom a reconnu avoir été lui-même arrêté dix fois par la police dans le passé et ne pas le regretter.

La ministre belge de l’Énergie, Tinne Van der Straeten, a également donné une interview particulièrement alarmiste depuis l’Égypte. Elle a déclaré :

« C’est la dernière décennie pour agir contre le changement climatique. Nous sommes en enfer climatique et nous ne devrions pas nous contenter de le dire pendant les deux semaines de la conférence sur le climat. »

Outre le fait que ce type d’hystérie climatique est probablement plutôt contre-productif pour la cause des militants du climat et que 2000 scientifiques ont déjà déclaré en 2007 qu’il restait « dix ans pour éviter la catastrophe », les rapports officiels n’indiquent pas non plus qu’il y a urgence.

C’est du moins ce qu’affirme le professeur Gerard Govers, vice-recteur du département des sciences de la KU Leuven, se référant aux nouvelles projections sur le réchauffement de la planète de l’agence des Nations unies pour l’environnement et de l’Agence internationale de l’énergie :

« Les scénarios climatiques apocalyptiques sont désormais abandonnés en masse. »

Selon le célèbre chercheur danois Bjorn Lomborg, le changement climatique est effectivement un défi mais l’hystérie est injustifiée :

« Nous recevons des rapports incessants sur les catastrophes, qu’il s’agisse de la dernière vague de chaleur, d’une inondation, d’un feu de forêt ou d’une tempête. Pourtant, les données montrent de manière écrasante qu’au cours du siècle dernier le monde est beaucoup plus en sécurité face à tous ces phénomènes météorologiques. »

Le publiciste Andrew Hammel prévient qu’il est important de tirer les leçons des actions terroristes d’extrême gauche allemande des années 1970, dont les militants n’ont alors « jamais bénéficié du soutien du grand public, mais ont été aidés par un réseau clandestin de sympathisants, généralement des journalistes, des militants, des avocats et des professeurs d’extrême gauche », ce qui était vital pour leur radicalisation.

Les politiciens ou faiseurs d’opinion qui ne condamnent pas le vandalisme climatique antidémocratique portent donc une grande responsabilité.

Réparations pour les dommages climatiques
Pendant ce temps, les politiques climatiques actuelles ne font que se resserrer.

Par exemple, lors de la COP27 en Égypte, plusieurs pays industrialisés, dont la Belgique, l’Allemagne, le Danemark et l’Autriche, ont même accepté l’idée de réparations pour les « dommages climatiques ». La Belgique s’est déjà engagée à verser 25 millions d’euros au Mozambique au moment même où le premier navire-citerne quittait le pays africain avec du gaz GNL – un combustible fossile, donc – destiné à aider à résoudre la pénurie de gaz en Europe. L’hypocrisie climatique ne connaît vraiment aucune limite.

Il ne faut pas non plus s’étonner que la Commission européenne soutienne pleinement un nouveau durcissement de la politique climatique. Lors de la CO27 le commissaire chargé du climat, M. Timmermans, a annoncé que les objectifs climatiques de l’UE d’ici 2030 « peuvent désormais être portés à 57 % », et ce alors que le système européen d’échange de quotas d’émission ETS – en fait une taxe climatique européenne – est étendu à de plus en plus de secteurs.

Heureusement, la dure réalité semble finalement s’imposer aux États membres de l’UE. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, s’est lancée sur la voie de l’alarmisme et de la religion lors de la COP27, en déclarant : « Ne prenons pas l’autoroute de l’enfer […] mais gagnons notre billet propre pour le Paradis ».

La présidence tchèque du Conseil de l’UE a adopté un ton très différent par l’intermédiaire de Jozef Síkela, le ministre tchèque de l’Énergie, qui a préconisé de « considérer les choses du point de vue de l’industrie », qui est justement aujourd’hui soumise à une forte pression en Europe en raison d’une pénurie de combustibles fossiles, conséquence directe des politiques de l’UE et des États membres visant à les éliminer progressivement.

Le reste du monde, lui aussi, semble ignorer de plus en plus l’ambition prohibitive des zélateurs européens du climat de parvenir à un zéro net, c’est-à-dire de ne pas ajouter à l’atmosphère plus de gaz à effet de serre que nous n’en aurons éliminé d’ici à 2050. Selon le chef de la délégation de l’UE à la COP27, Jacob Werksman, les négociateurs de l’UE ont été déçus que les autres pays n’aient « pas présenté de stratégies plus convaincantes pour atteindre le net zéro d’ici le milieu du siècle ».

Peut-être que le froid hivernal et les factures d’énergie qui l’accompagnent pourraient refroidir les activistes climatiques surchauffés et leurs larbins politiques.

Une croyance délirante qui se prend pour une science exacte et qui entend prendre le pouvoir afin de mettre en coupe réglée la totalité de l’activité humaine dans le but ultime d’anéantir toute forme de civilisation,
nous vivons à n’en pas douter une ère idéologique.

Superphénix

Publié: novembre 25, 2022 dans Uncategorized

L’origine de la décision politique de l’arrêt définitif du réacteur nucléaire surgénérateur Superphénix par le gouvernement de Lionel Jospin le 2 février 1998 s’apparente au fameux « effet papillon » : le battement de l’aile d’un papillon au Brésil peut aboutir à la formation d’un cyclone au Texas ou en Indonésie. Le résultat de cette décision annoncée (elle figurait dans son programme pour se faire élire avec les voix des Verts) fut un désastre technique (abandon d’une filière d’avenir), humain (pertes de compétences) et financier (pertes de milliards d’euros).

Pour illustrer l’impuissance de l’homme à prédire le comportement des systèmes complexes, le mathématicien Lorentz avait pris l’exemple des phénomènes météorologiques en disant qu’il « suffisait du battement de l’aile d’un papillon au Brésil pour aboutir dix jours plus tard à la formation d’un cyclone quelque part en Indonésie » (Georges Charpak et Rolland Omnès dans Soyez savants, devenez prophètes).

Le battement d’aile du papillon
Ainsi, un incident mineur (le battement d’aile du papillon) dans la centrale de Superphénix le 3 juillet 1990 fut à l’origine d’un incroyable enchaînement de crises « administratives » entièrement créées par un nombre réduit d’acteurs antinucléaires. Ces derniers ont su habilement exploiter les recours juridiques et l’émotion populaire pour finalement aboutir à la fermeture de cette centrale en 1998.

Au mois de juin 1990, ce réacteur fonctionnait normalement à 90 % de sa puissance nominale lorsque des mesures de surveillance montrent une lente oxydation du sodium du réacteur. Ce défaut détecté reste toutefois largement inférieur aux limites admissibles spécifiées par les critères de sûreté.

Il est cependant décidé d’arrêter momentanément le réacteur le 3 juillet 1998 afin d’en déterminer l’origine. Elle se révèlera être une petite membrane en néoprène (quelques centimètres de diamètre) dans le compresseur d’un circuit auxiliaire qui, déchirée, laisse entrer un peu d’air.

Ce sera « le battement d’aile du papillon »
Une membrane en néoprène…

Cette membrane sera le prétexte saisi qui conduira de fil en aiguille à la fermeture du réacteur Superphénix huit ans plus tard à cause d’un mélange de malveillances d’opposants et de lâchetés politiques.

La tourmente judiciaire et une volonté politique du gouvernement Jospin pour conserver les rênes du pouvoir avec l’appui des Verts (Dominique Voynet) conduira à tuer (assassiner ?) cette formidable réalisation commune de la France, de l’Italie et de l’Allemagne.

Injustement discrédité par les médias, ce remarquable réacteur, alors unique au monde, sera finalement sacrifié sur l’autel de l’éphémère « majorité plurielle » arrivée au pouvoir en juin 1997 avec Lionel Jospin comme Premier ministre. Il était cent fois plus efficace et économe en combustible uranium que les réacteurs « classiques » précédents.

L’année précédente (1996), la centrale électrique Superphénix, dont la mise au point était terminée, avait eu un excellent taux de disponibilité (96 % de temps de fonctionnement dans l’année).

L’investissement était totalement réalisé et le combustible déjà fabriqué était encore capable de produire 30 milliards de kWh (30 TWh). Il ne restait donc plus qu’à recueillir le fruit de tous les efforts humains et financiers consentis depuis 10 ans en exploitant cette source de richesses.

Superphénix aurait pu participer « en même temps » et à peu de frais à la recherche sur la transmutation des déchets radioactifs de haute activité et à longue durée prévue par la loi de décembre 1991.

Une faute majeure
Près de 25 ans plus tard, la triple faute de Lionel Jospin (qui s’en défend) apparaît au grand jour :

1) Une faute scientifique et technologique qui a entraîné la perte d’un capital humain considérable de savoir et d’expérience. Et ce n’est pas l’abandon du projet de démonstrateur de réacteur surgénérateur de quatrième génération ASTRID en janvier 2020 par le président Macron qui va améliorer les compétences françaises dans ce domaine.

2) Une faute économique et une gabegie financière (plusieurs milliards d’euros) dont ni la centrale, ni ses concepteurs, ni son exploitant ne portent la responsabilité. Cette décision politique a conduit au démantèlement des installations de recherche et à la dissolution du tissu industriel spécifique dédiés à cette technologie des réacteurs surgénérateurs dits « à neutrons rapides » (RNR).

3) Une faute sur le plan de l’emploi et de la production massive pilotable et durable d’une électricité pour le soutien de l’industrie.

Le réacteur RNR Phénix (qui avait précédé Superphénix) a été mis en service en 1973 et exploité pendant 36 ans jusqu’en février 2010 pour acquérir une expérience destinée à compléter les connaissances sur la filière des réacteurs à neutrons rapides (RNR) au sodium.

Mais à qui serviront ces connaissances si aucun réacteur de ce type n’est construit avant le départ en retraite et le décès de tous ces ingénieurs et techniciens ?

Comment a-t-on pu en arriver là ?
Les raisons de la décision de Lionel Jospin de fermeture définitive de Superphénix annoncée le 2 février 1998 se trouvent dans une réponse étonnante au député Michel Terrot le 9 mars 1998.

Il y est reconnu que : « Superphénix représente une technologie très riche, développée par des personnels particulièrement motivés et performants qui ont montré que la France savait mettre au point des équipements technologiques innovants de très haut niveau […] Il faudra tirer profit de l’expérience accumulée et poursuivre les recherches dans le domaine des réacteurs à neutrons rapides pour l’avenir à plus long terme ».

De qui se moque-t-on ?

Cette réponse surréaliste n’aide pas à comprendre le cheminement intellectuel des auteurs de ce vibrant hommage à Superphénix qui les conduit à cette terrifiante conclusion : puisque cette « technologie très riche » est remarquable, il faut l’abandonner et perdre l’expérience de ces « personnels particulièrement motivés et performants ».

Et en même temps, malgré cet arrêt, « tirer profit de l’expérience accumulée », et surtout « poursuivre les recherches dans le domaine des réacteurs à neutrons rapides pour l’avenir à plus long terme ».

Quelle hypocrisie !

Ce prétendu hommage en forme d’oraison funèbre sonne faux. Il est d’autant plus insoutenable qu’il émane des tueurs eux-mêmes dont le magazine Le Point dresse une liste non exhaustive le 26 octobre 2022.

Aucune vision à long terme
Quelle inconséquence vis-à-vis de l’avenir de la France et quelle perte pour la recherche et la technologie !

L’abandon de Superphénix fut plus qu’une erreur technique, humaine et financière, ce fut une faute grave contre la France, ce dont personne ne semble aujourd’hui responsable devant les Français pourtant favorables à 75 % à l’énergie nucléaire !

La France continuera longtemps encore à payer le prix de cette trahison nationale alors que nos concurrents progressent dans la voie des RNR de quatrième génération (États-Unis, Russie, Chine, Inde).

En 2005, l’Inde a entrepris la construction d’un réacteur à neutrons rapides du même type que Superphénix… avec l’aide de techniciens français, tandis que déjà 5 RNR fonctionnent ou sont sur le point de démarrer dans le monde (Russie, Chine, Inde).

En France, avec le rendez-vous manqué du démonstrateur Astrid et la future quatrième génération de réacteurs nucléaires, nos enfants assisteront peut-être au-delà de 2050 au développement d’un nouveau Phénix ou d’un Superphénix renaissant de leurs cendres… Mais ils seront construits par les Américains, les Russes, les Indiens ou… les Chinois dont les Français seront, avec un peu de chance, les sous-traitants, alors qu’ils avaient 20 ans d’avance il y a 25 ans.

Décidément, la France manque cruellement d’hommes politiques dignes de ce nom ayant une vision claire et à long terme de l’intérêt général car malheureusement les successeurs de Jospin, animés aussi par leur soif du pouvoir, n’ont pas fait mieux.

Ce texte n’est pas de moi

Publié: novembre 19, 2022 dans Uncategorized

De quoi sera fait demain ?
« Ce matin de 2035, mon fils de 8 ans m’a fait une crise et a menacé d’appeler le 119, car je refuse qu’il aille à l’école en jupe & avec du vernis aux ongles.
Ma fille Julie de 15 ans, qui se sent «non-binaire», m’a traité de «boomer», car j’ai refusé de l’appeler «iel» en parlant d’elle et parce que je refuse de changer son prénom à l’état civil. Elle veut s’appeler «Jul» pour ne pas qu’on puisse supposer son genre. Et aussi parce que Jul est son chanteur préféré.
« Je pars au boulot à vélo car depuis la loi Hidalgo de 2026, la voiture (même électrique) est interdite dans les grandes agglomérations. Je parcours donc 35 km tous les jours à vélo. Avec la chaleur de ce mois de juillet, j’arrive au boulot trempé et décoiffé.
Mais ce n’est pas grave, c’est le cas de tout le monde : ici, personne ne se regarde et personne ne se juge, car c’est passible d’une amende et, éventuellement, d’une peine de prison selon la gravité de la remarque.
« Mon patron me fait savoir qu’il m’a mis un blâme car, hier, j’ai écrit un mail sans écriture inclusive et qu’une cliente s’en est plainte. La prochaine fois, c’est la porte ! Il faut que je fasse attention à ce que j’écris et à comment je l’écris. Et aussi à ce que je dis…
« Ma nouvelle collègue, qui partage mon bureau, n’est pas là aujourd’hui, car c’est sa semaine de «congé menstruel». C’est un congé mis en place depuis 2023 afin de «permettre aux personnes possédant un vagin» (sans distinction de genre, pour éviter d’éventuelles
stigmatisations) de rester à la maison, pour motif de règles douloureuses, une semaine par mois.
« Grâce à son absence, je peux donc exceptionnellement fermer la porte de mon bureau. En effet, après le mouvement #MeToo, la France a imposé l’interdiction de «portes closes» lorsque des employés de genres différents travaillent ensemble. Certaines entreprises créent même des «espaces safe», c’est-à-dire des bureaux sans aucun homme hétérosexuel pour éviter tout risque d’agression sexuelle.
« À midi, pour la pause déjeuner, je n’apporte plus de viande dans mes plats car j’en avais marre de me faire traiter de «carniste», de «spéciste» ou carrément d’arriéré par mes autres collègues – pour la majorité devenus végans. Par ailleurs, lorsque je fais les courses au supermarché et que j’ose m’acheter un rare morceau de poulet à 45 euros le kilo, je me fais systématiquement dévisager par les autres clients, emplis de dégoût.
« Le soir, tout en grignotant mon bol d’insectes accompagnés de pousses de soja [bien plus éco-responsable que mon bifteck d’antan], je peux enfin me distraire devant un film Netflix : c’est l’histoire de Napoléon, joué ici par Omar Sy, et Joséphine, sa femme, jouée par une actrice mexicaine dont le nom m’échappe. La parité dans ce film est parfaitement respectée et on apprend, par ailleurs, que Napoléon était bisexuel, afro-américain et musulman. Le film a d’ailleurs obtenu 12 Oscars, battant ainsi le précédent record de 11 statuettes, remporté par «Titanic», un vieux film qui racontait l’histoire grotesque d’un couple blanc hétérosexuel, voyageant dans un paquebot de luxe au début du XXe siècle.
« Le film terminé, je décide de me glisser dans mon lit pour continuer ma lecture du moment «La Gloire de parent n°1». [Pour les plus anciens comme moi, ce livre s’appelait autrefois «La Gloire de mon père» , et faisait partie de la série ‘Souvenirs d’enfance’, de Marcel Pagnol].
Je vais, d’ailleurs, bientôt attaquer «Le Château de parent n°2» qui est la suite du premier. J’ai hâte. »

(Ce texte n’est pas de moi)

Le Redoutable…

Publié: novembre 18, 2022 dans Uncategorized

Par LE REDOUTABLE
Quel est ce monde que nous promet le mondialisme sinon un enfer ?

Grand remplacement ou destruction
Merci Clémence de Longraye, vous avez rédigé un article remarquablement éloquent et prémonitoire, prophétisant que notre gouvernement va commettre les mêmes erreurs que dans les années 80 ….
Comme vous avez vu juste.

Mais ne serait-ce point, parce que tous les ministres du gouvernement de Macron sont socialistes. OU PRESQUE ?
Vous devez savoir que leur président est de tous les « courants d’air », et de tous les vents qui » soufflent « d’où il veut les voir venir, afin de satisfaire son égo et ses intérêts très personnels, et non pour redresser la France.
Faut-il rappeler que Macron avait adhéré en 2008, au Parti socialiste, puis devenu employé très « spécial » chez un banquier international acquis à l’idéologie mondialiste, de très longue date.
Par conséquent, ce personnage n’est pas fiable, pour l’avoir démontré, à de multiples occasions, il a prouvé qu’il n’a aucune parole, comme nous l’avons constaté depuis sa son apparition en politique , présenté par Emmanuel Valls à François Hollande.
En effet, Macron les a trahi, tous deux, éhontément.
Quant aux ministres Bruno Lemaire et Darmanin, ils ne sont très « attachés » à Macron que pour satisfaire leurs intérêts personnels, auparavant gaullistes, ils n’ont jamais été que des opportunistes qui ont trahi leur famille politique qui fut un temps gaullienne , je ne la reconnais plus pour telle.

Donc, rien de nouveau, puisque les « aristocrates bobos – socialos de la gauche caviar » sont toujours au pouvoir , depuis les années 80, sauf un court instant , puisque Jospin est arrivé…le temps d’une cohabitation, ils ont tous poursuivis la même politique anti-française, seul, en 1992, Philippe Séguin avait su courageusement sonner le glas et dénoncer , auparavant, la perte de notre identité, dès la signature du traité de Maastricht . .

Ensuite, tous nos gouvernants ont voulu nous imposer des lois liberticides, avec la complicité de la majorité des médias vendus aux banquiers internationaux, qui ont agi dans le dos des peuples européens, sans jamais leur demander leur avis.
C’est ainsi que leur « Grand Remplacement » se déroule contre des peuples apparemment soumis et » en dormance » , parce que se sachant manipulés par des gouvernants et leurs médias complices, dont ceux qui dirigent la France et une Union Européenne inexorablement enchaînées à des milliardaires Américains, alliés aux Anglo-saxons de Wall- Street, ces derniers étant plus riches que les grands Etats qu’ils dirigent en faisant élire leurs « poulains » qui cherchent fortune pour » EUX ».
De même suite, s’ils le voulaient, ils pourraient corrompre tout le beau monde politique ! Heureusement qu’ils ne sont point malhonnêtes !

A ce propos, j’ajouterai que l’idéologie « wokiste -mondialiste -universaliste » qui nous impose d’immenses et récurrents flux migratoires, est inhumaine et amorale.
En effet, sous un prétexte fallacieux, cette idéologie se cache derrière une idéologie qui est le contraire de l’Humanisme et l’Universalisme bienheureux .
En vérité, il s’agit d’un Humanisme sans aucune moralité .
En effet, en décidant d’inonder, de submerger une Europe déjà très affaiblie moralement et matériellement, par des « vagues » successives de migrants , sans pouvoir bien les accueillir, sans pouvoir leur donner un logement décent, et un travail ( la France qui compte officiellement trois millions de chômeurs , et douze millions de pauvres vivant sous le seuil de la pauvreté, n’est plus capable de bien accueillir ), je peux donc affirmer , malheureusement, que nous vivons les prémices d’un grave » GENOCIDE » de tous les peuples européens, » GENOCIDE » orchestré par un système mafieux toujours plus friand d’un système de « traites humaines », financé par des gouvernants mondiaux à la botte de milliardaires , lesquels défiscalisés, devenus plus riches que riches, comptent bien se servir des « migrants » comme : » NOUVEAUX ESCLAVES » au service d’ Aristocrates issus d’une » GAUCHE – toujours plus gauchisante. »
Sauf exception, tous ces Immigrés à qui l’on a fait croire au paradis sur Terre, ainsi qu’à de nombreux autres Habitants de notre Planète les serviront, dans le « Nouveau Monde » imaginé par des rêveurs assoiffés par l’argent -roi, lequel sera dirigé par un gouvernement mondial : Totalitaire.
Selon de bonnes sources, le « genre humain » est destiné à devoir vivre en « Assisté. »

Par conséquent, il s’agit d’une destruction qui a été programmée par l’Idéologie mondialiste, et non point seulement en vue d’un remplacement de populations.
En outre, d’autres pensées toutes également malsaines et mortifères sont toujours à l’étude par nos gouvernants, à Davos, à chaque » COP « , ou à Bilderberg, par exemple :
– Pour une fin de vie dite humaine, nos représentants vont devoir s’acharner à réfléchir à une méthode humaniste nommée euthanasie !
– En même temps, des Traditionalistes font de la résistance, leurs messes sont en latin , pendant que des prêtres d’une religion toute aussi catholique discutent également de l’euthanasie (question essentielle posée très intelligemment à Sa Sainteté le Pape François par Macron), mais encore du « genre » et de la « GPA » qui est le cheval de Troie qui permettra à nos ennemis, sous la houlette de
« l’ennemi public numéro 1 » de favoriser l’accueil inconditionnel des immigrés, niant la faillite du « OQTF » (NDLR : Obligation de Quitter le Territoire Français) prétextant que le réchauffement climatique est dangereux pour notre planète, mais qui n’hésite point à utiliser, à satiété les jets privés sans compter.
Consommant outrageusement l’argent des contribuables qu’il méprise, il sait comme personne faire exploser les factures d’électricité, comme jamais aucun locataire du Palais n’avait osé, jusqu’à sa présidence (Charles de Gaulle éteignait la lumière, dès qu’il quittait une pièce, il est vrai que notre génération était respectueuse des lois et règlements, et respectait ses semblables).
– En revanche, si aujourd’hui, il est exigé l’extinction des feux dans les villes où l’insécurité domine déjà de plus en plus, à moins que cela soit, peut-être, une stratégie pour mieux nous faire disparaitre.
Il est effectivement notoirement connu que les villes sans lumière se transforment en coupe-gorge, facilitant les saccages et actes de vandalisme en tout genre.

En plus, Macron s’est rendu coupable de notre insuffisance énergétique, en exigeant la fermeture de plusieurs de nos centrales nucléaires, si cela n’était pas autant gravissime, cela pourrait être ubuesque, lorsque nous constatons l’imbroglio navrant qui en résulte, à cause de son amateurisme en la matière.
Faut-il rappeler que le directeur d’exploitation desdites centrales a été limogé, et pourtant, ce dernier n’avait fait qu’obéir aux ordres de cet amateur irresponsable et incompétent.
– En outre, Il est bon de savoir qu’en France, la tentation de l’autodéfense croît parmi les Français , toujours plus nombreux à devenir les malheureuses victimes d’agresseurs très violents (étrangers pour la plupart), leur mal être est partout, mais pas seulement, aussi, nous constatons que des » Bobos » sont les plus racistes.
Souvenons-nous, aussi, de l’affaire du père à Roanne, qui a cru être en « état de légitime défense », au nom de l’Honneur de sa fille mineure victime d’un malade.
Sachant, par ailleurs, que la ville de Lyon veut verser une somme de 14 000 euros pour « S.O.S. Méditerranée » afin de soutenir l’immigration clandestine en France et en Europe, à ce jour, se sachant protégés, les ennemis qui n’aiment pas la France se découvrent davantage lorsque nous connaissons le fond de leurs pensées machiavéliques et inhumaines.

En vérité, aujourd’hui, nous comprenons qu’ils veulent recruter de nouveaux esclaves, en remplacement des Français qui refusent de le redevenir après avoir tant donné à des rapaces, dans un passé récent.
Nous nous devons de ne JAMAIS oublier que des Français sont morts pour la FRANCE.
Parvenu à ce niveau de réflexion, nous sommes très inquiets de devoir entrer à nouveau en résistance, ceci, depuis l’éruption et l’irruption d’un phénomène nommé Macron, nous nous devons à faire connaître une contestation globale de la gestion de la pandémie, des grèves émeutières, pour contrecarrer les effets nocifs et nuisibles d’un libéralisme mondialisé, mais aussi à la vague d ‘émotion planétaire suscitée par l’incendie de Notre Dame de Paris, nous subissons écœurés le grand chambardement (titre de l’un de mes articles), la perte de notre souveraineté, de toute nationalité, de toute liberté individuelle dans le nouveau monde qui deviendra le nôtre très prochainement, pour le meilleur et pour le pire, l’ère des révoltes va bientôt commencer.
Il ne cessera plus avant longtemps, parce que tous les peuples se rebelleront en tribus, contre l’effondrement social, que nos vrais gouvernants ont programmé, pas à pas, dès la fin de la première guerre mondiale, pour instaurer un nouvel ordre mondial qui ne pourra être que totalitaire.

Les faits rien que les faits, déjà actuels, nous le font pressentir, il faudrait être sourd, et aveugle pour le nier.
Par une immigration massive et incontrôlée, par une pandémie programmée et d’autres en gestation, la Nomenklatura mondialiste et wokiste composée d’irresponsables hors -sol, a su fomenter les effets collatéraux résultant de leur infamie destructrice du genre humain, dont notre Humanité souffre déjà, elle ne pourra s’en défaire sauf, par une rébellion, mais à quel prix….
Parce que les malades qui nous gouvernent, aujourd’hui, jouissent déjà de connaître les faits qui en découleraient, certes encore partiellement, mais c’est leur : » Violon de…..dingue ! »
Ils ont déjà écrit tous les scénarios SAUF UN !

À bon entendeur !

Anti-male Canada (Français)

Publié: novembre 15, 2022 dans Uncategorized

Récemment, mon meilleur ami, qui vit dans un pays d’Asie, m’a dit qu’un de ses amis avait été accepté pour l’immigration canadienne. Après des années à remplir des demandes et à passer des entretiens, il a finalement été accepté. Mais ce n’était pas la fin de l’histoire. Il a décidé de jeter la lettre d’acceptation à la poubelle et d’oublier le Canada. Pourquoi pensez-vous qu’il a fait cela ? N’y a-t-il pas de pays pour les hommes ?

Il a dit qu’il ne voulait pas être l’esclave du gouvernement et d’un système anti-hommes. Il a parlé d’un grand nombre d’histoires d’horreur racontées au Canada par de nombreux hommes. En tant que résident du Canada depuis 15 ans, je suis entièrement d’accord avec lui. Ce pays est gynocentrique et anti-masculin. Si vous visitez les établissements d’enseignement féministes, ou si vous ouvrez les chaînes de télévision et les stations de radio de gauche, vous penserez que vous vivez dans un patriarcat, et que les femmes sont victimes d’un système conçu pour profiter aux hommes. C’est bien sûr une partie de l’astuce pour que la vérité reste dans les chuchotements et dans les communautés en ligne. Cette question résonne en moi de temps en temps : « N’y a-t-il pas de pays pour les hommes ?

La vérité est qu’au Canada, vous êtes gouvernés par la manipulation et les émotions féminines. C’est le corps dirigeant du Canada. Ce dictateur a un œil sur tout ce que vous dites et faites. Si vous dépassez les bornes, vous feriez mieux d’avoir de l’argent de côté ou un tour dans votre sac pour prendre soin de vous après avoir été étiqueté avec plusieurs des célèbres étiquettes qu’elles utilisent pour ternir votre réputation. Ce dictateur particulier utilise des hommes faibles d’esprit et le gouvernement pour vous mettre à genoux. N’y a-t-il pas de pays pour les hommes ?

Les femmes au Canada peuvent facilement vous accuser de quelque chose que vous n’avez pas fait et ruiner votre vie, et tout ce que vous pouvez faire est de regarder. Vous pouvez vous défendre, mais il vous faudra une petite fortune pour le faire, et vous ne pourrez pas tout arranger car vous porterez les stigmates avec vous partout où vous irez. Si vous envisagez de vous installer avec une Canadienne, je peux vous dire avec un haut niveau de certitude que ce serait la pire décision que vous puissiez prendre dans votre vie. N’y a-t-il pas de pays pour les hommes ?

Tout le système au Canada est mis au service des femmes, tandis que les hommes sont relégués au rang de créatures ayant moins de droits que les chats et les chiens. Personne ne se soucie du fait que les hommes se suicident beaucoup plus que les femmes, qu’ils abandonnent l’école et l’université, qu’ils constituent la grande majorité de la population des sans-abri et qu’ils meurent beaucoup plus jeunes que les femmes. La pire chose à laquelle un homme peut être confronté au Canada est sans doute le système des tribunaux de la famille et l’éclatement de la famille.

Au Canada, vous pouvez être expulsé de votre maison, perdre tous vos biens, vous endetter et faire faillite, payer une pension alimentaire mensuelle pour le reste de votre vie et, en plus, vous perdrez probablement vos propres enfants dans le processus. Tout cela peut arriver en un jour et sans que vous en soyez responsable. L’aliénation parentale par la mère est tellement répandue au Canada que dans une décennie, un garçon qui sera toujours élevé par son propre père biologique deviendra une rareté ou une histoire à lire dans les journaux.

Au Canada, il est tout à fait acceptable qu’une femme vous manipule et vous prive de tout dans votre vie et qu’elle s’en tire à bon compte. Parce qu’elle ne vous a pas tiré dessus avec une arme à feu. Et même si elle l’a fait, elle recevra moins de la moitié de la peine qu’un homme reçoit pour le même crime. Partout où vous allez au Canada pour un travail de bureau, il y a une foule de femmes et de mères célibataires qui ne comprennent pas le sens de la responsabilité. Elles blâment toutes les hommes pour tout, mais ne mentionnent jamais que ce sont elles qui éloignent les enfants de leurs pères biologiques.

Elles ne mentionnent pas qu’elles sont à l’origine de la rupture ou du divorce parce qu’elles pensent qu’elles sont trop bien pour leur ex. Elles se font tellement d’illusions qu’elles pensent que le fait d’avoir un bon travail et d’être autosuffisantes est quelque chose dont elles peuvent tirer parti dans leur choix d’hommes. Elles sont masculines, argumentatives, compétitives avec les hommes, généralement en surpoids, et émotionnellement endommagées pour avoir couché avec des dizaines ou des centaines d’hommes.

Au Canada, les femmes ne complètent pas les hommes, elles sont en compétition avec eux. À la maison et au travail. Elles peuvent vous manipuler et s’en tirer à bon compte. Elles peuvent détruire votre vie et vous enlever vos enfants et s’en tirer. Ils peuvent vous faire virer et détruire votre réputation et s’en tirer. Ils ont le gouvernement pour les protéger et veiller à leur manipulation. Si vous êtes un homme célibataire à la recherche d’une vie paisible et réussie, le Canada n’est pas l’endroit idéal pour vous.

Anti-male Canada

Publié: novembre 15, 2022 dans Uncategorized

Recently my best friend who is located in a country in Asia, told me that one of his friends was accepted for Canadian immigration. After years of filling applications and interviews, he was finally accepted. But that was not the end of it. His decision was to throw the acceptance letter in the garbage and forget about Canada. Why do you think he did that? Is there no country for men?

He said he doesn’t want to be a slave for the government and an anti-male system. He spoke of a lot of horror stories coming out of Canada by many men. As a resident of Canada for the last 15 years, I fully agree with him. This country is gynocentric and anti-male. If you visit the feminist educational institutions, or open the leftist TV channels and radio stations, you would think that you live in a patriarchy, and women are victims of a system designed to benefit men. That is of course a part of the trick to keep the truth spoken in whispers and in online communities. This question resonates me now and then that Is there no country for men?

The truth is that in Canada, you are governed by female manipulation and emotions. That is the governing body of Canada. That dictator has an eye on everything you say and do. If you are out of line then you better have the cash saved or some trick up your sleeves to take care of yourself after being labeled with many of the famous labels that they use to tarnish your reputation. That particular dictator uses weak minded men and the government to get you down on your knees. Is there no country for men?

Women in Canada can easily accuse you of something you didn’t do and ruin your life, and all you can do is just watch. You can fight back but you will need a small fortune to do so, and you won’t be able to fix everything as you will carry the stigma with you everywhere you go. If you are thinking of settling down with a Canadian woman, I can tell you with a high level of certainty that it would be the worst decision you can make in your life. Is there no country for men?

The whole system in Canada is setup in service of women, while men are relegated into creatures with less rights than cats and dogs. No one cares that men commit suicide much more than women, dropping out of schools and universities, constitute the vast majority of the homeless population, and die younger than women by a decent margin. Perhaps the worst thing that a man can deal with in Canada is the family court system and the breakdown of the family.

In Canada, you can get kicked out of your home, lose all your assets, go into debt and bankruptcy, pay child support and alimony on monthly basis for the rest of your life, and on top of that you will probably lose your own children in the process. All this can happen in one day and with no fault of your own. Parental alienation by the mother is so prevalent in Canada that in a decade from now, a boy who is still raised by his own biological father will become a rarity or a story to read in the newspaper.

It is perfectly acceptable in Canada that a woman manipulates you out of everything in your life and get away with it. Because she didn’t shoot you with a gun. And even if she did, she will get less than half of the sentence that a man gets for the same crime. Anywhere you go in Canada for a desk job, it is swarmed with women and single mothers who do not understand the meaning of accountability. They all blame men for everything but never mention that it is them who are alienating the children from their biological fathers.

They won’t mention that they were the ones who initiated the break up or the divorce because they think they are too good for their ex-s. They are so deluded that they think having a good job and being self-sufficient is something that they can leverage in their choice of men. They are masculine, argumentative, competitive with men, mainly over-weight, and emotionally damaged from sleeping with tens or hundreds of men.

Women in Canada do not complement men, they compete with them. At home and at the workplace. They can manipulate you and get away with it. They can destroy your life and take your children away from you and also get away with it. They can get you fired and destroy your reputation and also get away with it. They have the government to protect them and guard their manipulation. If you are a single man looking for a peaceful and successful life, Canada is not the place for you. Anonym

Os du pénis

Publié: octobre 4, 2022 dans Uncategorized

https://www.sciencesetavenir.fr/archeo-paleo/evolution/os-penien-pourquoi-les-humains-ont-perdu-cet-outil-de-competition-sexuelle_108958?utm_medium=Social&utm_source=Facebook#Echobox=1664553010

Superphénix

Publié: septembre 25, 2022 dans Uncategorized


Le sabordage de l’outil électronucléaire décrété par Matignon en juin 1992.
Il ressort de la présente rétrospective que les mêmes fossoyeurs sont à la manœuvre depuis 30 ans, bénéficiant sur la durée des mêmes complicités, des mêmes complaisances et des mêmes veuleries de droite et de gauche.


Réputée avoir eu la peau de Superphénix, Dominique Voynet ne fit en réalité que cueillir les fruits de l’inlassable travail de sape accompli par Corinne Lepage durant la décennie 1987-1997. C’est donc à juste titre que la seconde traita la première d’usurpatrice dans les colonnes du journal Le Monde, en juillet 1997.

Toutefois, la plaignante oubliait à son tour de souligner le rôle terriblement efficace que, en tant que ministre de l’Environnement, la toute jeune et fraîche protégée du président Mitterrand, Ségolène Royal, joua dans la descente aux enfers de la centrale, en bloquant administrativement sa remise en service entre juillet 1990 et juillet 1992 ; mortelle initiative qui contraignit l’exploitant – la société Nersa – à solliciter une nouvelle autorisation de création de centrale, au motif fallacieux que cette dernière avait été arrêtée durant plus de deux ans.

S’ensuivit une enquête publique débouchant en juillet 1994 sur la parution d’un nouveau décret d’autorisation tellement mal ficelé (à dessein ?) que, dès septembre 1994, il était attaqué en annulation devant le Conseil d’État… par Corinne Lepage ; admirable passage de témoin entre coreligionnaires ! Pourtant, si le recours visait bien la démarche de l’État français, il ne s’en prenait ni à la technologie, ni à la sûreté de la centrale.

Partant, il incombait d’autant plus à cet État de contre-attaquer qu’il lui était aisé de réfuter un motif aussi grossier et aussi stupide que prétendre la « centrale n’être plus une centrale de production » quand le décret autorisant son fonctionnement à la puissance nominale de 1200 MW électriques… prévoit « qu’elle ne serait plus couplée au réseau » (sic) !

Comment le sabordage du nucléaire a débuté
Lorsqu’en février 1997 le recours passa devant le Conseil d’État, on attendait on ne peut plus naturellement que la défense fut assurée par les deux ministres de tutelle directement concernés, dont le ministre de l’Environnement nouvellement nommé par Alain Juppé… Corinne Lepage ! Tenue de réfuter les arguments du recours qu’elle avait elle-même rédigé, la ministre s’abstint sans vergogne de produire tout dossier de défense. Sans surprise, le décret d’autorisation de création de la centrale fut annulé par l’insolite jugement du Conseil d’État en précisant le statut sans appel. On connait la suite : le 19 juin 1997, Lionel Jospin fit part à l’Assemblée nationale de sa décision d’abandonner Superphénix, la condition mise par Dominique Voynet à sa participation à la « majorité plurielle ».

Ainsi, le début de la fin de Superphénix fut-il scellé fin juin 1992 par la décision d’un gouvernement Bérégovoy sous influence Mitterrand-Royal qui obligea Nersa à solliciter une nouvelle autorisation de création. Il en résulta un arrêt cumulé de la centrale d’une durée de cinq ans, période mise à profit par tous les activistes antinucléaires pour désespérer les partenaires italiens et allemands et les pousser à jeter l’éponge.

Des recours en référé furent aussitôt introduits en pure perte par les associations de défense de Superphénix auprès du Conseil d’État, le dernier en mars 1999. Le rejet de tous les motifs qu’ils invoquaient fut définitivement notifié au public en mars 2000. À quoi d’autre aurait-on pu s’attendre quand, camouflé sous le jargon MHSD (Mise Hors Service Définitif) ne correspondant en rien aux termes de la législation en vigueur, le désossage de la centrale avait commencé dès octobre 1999 ?! Ainsi, le gouvernement se dispensait-il ouvertement d’appliquer sa propre législation prévoyant une enquête publique préalable au démantèlement.

De fait, dès novembre 2000, l’opération MHSD s’apparentait davantage à un sabotage méthodique et irréversible qu’à un démontage : cisaillage des connexions électriques, découpages précipités des tuyauteries, retraits de nombreux composants du cœur et de centaines d’assemblages combustibles. Bref, le Premier ministre n’avait plus qu’à entériner un démantèlement largement anticipé et à dissoudre officiellement Nersa : la forfaiture était consommée. L’attention du lecteur est ici attirée sur les motifs du sabordage avancés dans la notification à Nersa, particulièrement marqués du sceau de la pertinence et de la vision prospective des gouvernants de l’époque1. En tout cas, on ne peut s’empêcher de noter la frappante similitude entre tant d’empressement à la démolition et le zèle aujourd’hui déployé pour démanteler Fessenheim : deux ans d’avance sur le planning initial, excusez du peu !

Dans le dossier que la Cour des comptes fut tenue de fournir à Nersa, figurait l’évaluation à 14,6 milliards de francs 1997 du coût de l’arrêt définitif et immédiat de la centrale, dans les conditions imposées. Ce chiffre qui s’est sans doute révélé minoré, car ne prenant en compte ni les prévisibles dérives, ni les externalités socioéconomiques, fut confirmé par le Secrétaire d’État à l’Industrie Christian Pierret, devant la Commission d’enquête parlementaire, en mai 1998.

La crise énergétique à venir
Lorqu’on songe que l’année 1996 fut une année de fonctionnement particulièrement faste pour le surgénérateur – hélas, la première et la dernière – on est largement fondé à qualifier un tel gâchis de criminel : resté couplé au réseau 250 jours d’affilé, en dépit d’un arrêt programmé de longue date pour réaliser un programme d’essais sur les barres de commande, le prototype industriel afficha sur l’année un taux de disponibilité voisin de 96 %, le meilleur de l’ensemble du parc, avec une production de 3,7 milliards de kWh.

Par ailleurs, il ne fait pas l’ombre d’un doute que la France aurait aujourd’hui à s’énorgueillir du plus perfectionné et, surtout, du plus opérationnel des réacteurs à neutrons rapides (RNR) du monde, quelles qu’aient pu être les vicissitudes de toute nature rencontrées dans son développement durant ces 25 dernières années. Qui sait, le pays aurait peut-être même été amené à mettre un autre RNR en chantier, dont il faut préciser que la souplesse d’exploitation est remarquablement plus adaptée aux réglages du système électrique que les réacteurs PWR actuels.

Au moment de sa mise à mort, Superphénix était en effet le plus avancé de ces RNR brûlant le plutonium 239 dont ils sont chargés et pouvant être tiré de l’uranium 238 majoritairement présent dans l’uranium naturel, de même que tiré du résidu de ce dernier appauvri en uranium 235 après enrichissement pour produire le combustible actuel. À l’heure où se profile la disette énergétique dans notre pays, il n’est pas sans intérêt de relever que quelque 2000 tonnes de ce plutonium 239 dorment dans les 200 000 tonnes de combustibles usés, entreposées et non retraitées, à travers la planète, auxquelles s’ajoute une bonne centaine de tonnes chaque année. Rien qu’avec ce stock, il serait possible de démarrer au moins 100 RNR, à raison de 15 à 20 tonnes par unité, en premier chargement.

Mieux, non seulement la planète recèle largement assez d’uranium naturel pour des milliers d’années de fonctionnement en RNR, mais, avec les seuls stocks mondiaux d’uranium appauvri, soit environ 1,5 million de tonnes augmentant chaque année de 40 000 à 50 000 tonnes, on aurait pour un bon millier d’années d’alimentation de 1000 surgénérateurs, leur combustible étant alors pratiquement gratuit ! Or, plus que partout ailleurs sur la planète, ce millier d’années d’autonomie électrique à peu de frais serait encore à la portée d’une France renouant avec l’excellence technoscientique en renouant avec la technologie RNR. Hélas, le projet ASTRID sur lequel reposait les derniers espoirs d’une large part de la communauté française fut exécuté par les mêmes fossoyeurs que Superphénix, avec la même élégance.

Si les Français tiennent encore à conserver à leur pays quelque chance de repartir du bon pied, de doctrine malthusienne en Grenelle-Environnement, en Convention Citoyennes et autre LTECV, il est plus que temps pour eux de ne plus se tromper de responsables de leur infortune énergétique. Ils auraient même intérêt à conserver soigneusement le présent état des lieux, afin d’être en mesure d’en exciper au coup par coup, ces prochains mois, voire ces prochaines années, lors de circonstances qu’on peut prévoir difficiles, sinon conflictuelles.

Fac-similé de la lettre adressée au Président du Directoire de la NERSA, le 20 avril 1998
« Monsieur le Président

Vous avez déposé le 27 octobre 1992, conformément aux dispositions du décret du 11 décembre 1963 modifié relatif aux installations nucléaires, une demande d’autorisation de création de l’installation nucléaire de base dite « Centrale nucléaire de Creys Malville », située dans le département de l’Isère.

À l’issue de l’instruction de la procédure administrative afférente à cette demande, un décret d’autorisation de création a été signé le 11 juillet 1994 et a été publié au Journal Officiel du 12 juillet 1994.

Ce décret a été annulé par un arrêt de la section du contentieux du Conseil d’État en date du 28 février 1997, et l’installation dont votre société est l’exploitant nucléaire est actuellement à l’arrêt.

Dans ces conditions, après examen de la situation de l’installation sur les plans juridique, technique et économique, et à la suite de la réunion des ministres du 2 février 1998, il a été décidé de répondre par la négative à votre demande précitée et donc de ne pas autoriser le redémarrage de la centrale nucléaire.

En effet, ce prototype lancé dans les années 1970 dans un contexte de pénurie d’énergie et de faiblesse estimée des ressources en uranium, est désormais inadapté au contexte actuel : le parc de centales classiques suffit amplement à subvenir aux besoins de la France ; il n’y a pas aujourd’hui de tension sur les prix de l’énergie, ni de pénurie dans les approvisionnements en uranium, la filière de surrégénération ne semble pas avoir de perspective industrielle à court terme.

En outre, ce prototype, qui constituait un saut technologique considérable, a été difficile à maîtriser et a coûté beaucoup plus cher que prévu. Il ne peut en l’état constituer un modèle à répliquer à l’identique dans un programme d’équipement en surgénérateur.

Signé :

Le ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie : D. Strauss Khan

La ministre de l’Aménagement du Territoire et de l’Environnement : D. Voynet

Le Secrétaire d’État à l’Industrie : C. Pierret ↩

J’ai rencontré Corinne Lepage à la terrasse d’un café (le modern’ bar) à Aubusson, dans la Creuse, un jour de juillet 2003. Elle n’a jamais été responsable de rien. C’est évident !

Digital Currency

Publié: septembre 18, 2022 dans Uncategorized

https://fee.org/articles/why-a-digital-dollar-is-a-really-bad-idea/

A free world ?

Publié: septembre 18, 2022 dans Uncategorized

The year is 1984. One company – Microsoft – dominates the computer world. It’s their way or the highway.

Conform or die.

This snapshot in time was perfectly captured in one of the most famous commercials in TV history.

Set in a gray, dystopian future, row after row of men stare blankly at a giant screen from which Big Brother – the all-powerful leader from George Orwell’s classic novel 1984 – addresses them.

Suddenly, riot police burst into the hall, chasing a beautiful, blonde woman in a white shirt and red shorts. Before they can grab her, she hurls a sledgehammer into the screen, shattering Big Brother and his grip on the masses. The narrator informs us that Apple’s breakthrough product, the Macintosh computer, will be the device that sets us all free.

Looking back, Apple largely lived up to its promise. A new wave of companies, each in its own way, followed the example set by Apple’s legendary CEO, Steve Jobs.

Google gave us instant access to vast amounts of information.

Facebook gave us a new way to connect with friends, family, and the world.

Twitter brought this world to us in real time.

And YouTube allowed anyone with a smartphone to become a virtual broadcast network unto themselves.

It was glorious and empowering.

But that was yesterday. Today, it’s 1984 all over again. Big Brother is back – with an important twist.

Our former liberators now want to be our masters.

Apple, Google, YouTube, Facebook and Twitter, the giants of social media, are demanding conformity to their values.

It’s their way or the highway. Conform or die.

This image is perfectly captured not by an ad, but by this recent real-life scene: Row after row of men and women stare up at Tim Cook, Apple’s CEO, as he makes a presentation – ironically – before a civil rights group.

« We only have one message for those who seek to push hate, division, and violence: You have no place on our platforms, » Cook tells his audience. « You have no home here. »

« Hate »? « Division »? According to whom?

The answer is obvious: according to Apple, Google, YouTube, Facebook, and Twitter. They are becoming the Big Brother Orwell foresaw.

Conform or die.

Cook’s ideas are exactly the same as his fellow chief executives at Google, YouTube, Facebook, and Twitter.

Disagree with Big Brother on, say, politics, or morality, and Big Brother will shut you up by shutting you down.

And what is it that Big Brother doesn’t like?

Well, Tim Cook, said it: anything that doesn’t conform to his left-wing worldview.

The examples are numerous and growing.

Meghan Murphy, a Canadian feminist, is permanently banned from Twitter for refusing to refer to the transgendered by their preferred pronoun, and for writing « women aren’t men. »

Google, Facebook and Twitter all at various times refused to carry political ads from Tennessee Republican candidate Marsha Blackburn, promoting her conservative views. She’s hardly the only one this has happened to.

And, as many of you know, YouTube continues to restrict over 100 of PragerU’s videos, finding them « inappropriate for children. » These include titles like, « Why Did America Fight the Korean War? »

Broad-based studies by the American Institute for Behavioral Research and Technology and by Northwestern University have confirmed what these examples clearly suggest: bias against conservatives at Google and other Big Tech sites.

And this is the bias we can plainly see. What we don’t see, what Big Brother hides from us – what is referred to as « shadow banning » – may be even more pernicious.

If you’re on the left, maybe you’re okay with this. But if you’re not on the left, or even if you are and you revere the First Amendment, you should be concerned. Very concerned. We are advancing swiftly toward an Orwellian, 1984 world of stifling, one-way-of-thinking conformity. This time, it’s not a fictional story. It’s real.

What’s the solution? Simply return to the open market of ideas that served Big Tech so well for so long. Stop the censorship and let people make up their own minds. Otherwise America – and the rest of what has been known as the Free World – will cease to be free.

That’s how serious the Big Tech threat is.

I’m Brent Bozell, founder of the Media Research Center, for Prager University.

Be rich while poor.

Publié: septembre 17, 2022 dans Uncategorized

https://fee.org/articles/10-ways-to-live-like-a-millionaire-even-if-your-bank-account-is-empty/

Price control

Publié: septembre 14, 2022 dans Uncategorized

https://fee.org/articles/price-controls-have-failed-for-4-000-years-and-humans-still-haven-t-learned/

World government

Publié: août 22, 2022 dans Uncategorized

https://mises.org/wire/united-nations-and-origins-great-reset